Encore un...
La vie continue, et la réalité continue de mordre les indifférents : la Hongrie retirera toutes ses troupes d'Irak en mars 2005. Ce n'est pas qu'ils étaient si nombreux (300) mais bon, si Oncle Sam a encore quelque chose sur son compte en banque à ce moment là (le déficit budgétaire à venir se chiffre en trillons de dollars, mine de rien, sur les dix prochaines années), il arrivera bien à convaincre quelqu'un, n'importe qui, euh... le Luxembourg, s'il le faut, de venir grossir les rangs de plus en plus maigres de la coalition des bonnes volontés.
En passant, les fonds servant à financer les troupes des petits pays bienveillants (vous ne vous imaginez tout de même pas que l'Albanie *paye* pour envoyer sa poignée de trouffions, non ?) ne seront plus gérés par la CIA mais par l'armée.
He forgot Poland !!
Ah oui, tiens, j'oubliais. La Pologne retire ses troupes fin 2005, mais commence à réduire son contingent dès janvier. Et eux, c'est tout de même 2500.
L'article ici.
Entre les oreilles : The roots of coincidence : Pat Metheny Group
Écrit par O.
le 03 novembre 2004
à 19:02
Non, pas pour toujours : d'après les dernières estimations, à peine cinq ans.
Va falloir trouver des volontaires pour l'intérim, dis-moi. T'as rien de prévu pour les années à venir ?
Juste un detail sur l'economie O, les deficits americains sont des difficile conjoncturels, en clair c'est momentanné. Souviens toi sous reagan les dificits explosés mais dès que la croissance repart les americains les combles !!
Ds votre pays les deficits sont structurels, depuis 30 ans ils n'ont fait qu'augmenté et meme en periode de croissance ils continue a augmenté !! Cela pour vous est beaucoup plus inquietant.........
Oui, mon Robert. Tu as raison mon Robert.
Et dis-moi, mon Robert, pour la physique nucléaire, tu peux me faire un résumé aussi ?
J'imagine sans peines la complexion du perspicace Robert : ni trop gros ni trop petit, à se trouver blessé au plus profond de sa propre orthographe, jamais l'on ne présage que comme le dictionnaire du même nom que lui, notre Robert ne s'ouvre...
Pardonnes-moi Robert, je l'ignorais, de fait je me sens tou pénitent de honte.
Bravo pour ta connaissance du Français ! Du coup tu t'exprimes plutôt bien.
Ceci étant dit, je ne partage pas du tout tes opinions...
Eric