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30 septembre 2004
Nos amies les bêtes...
Découvert grâce à Zara, ce joyau :
Art martial, art mental de haute précision, la littérature entre avec Maurice g. Dantec dans la "sphère cognitive du militaire". Une division aéroportée à lui tout seul, il survole les tours de verre de la Ville-Monde aux commandes d'un Mig noir métal, tournoie en spirales au-dessus du désastre planétaire de l'Hyperpolis, à l'instant T donne le signal de l'assaut et les bombardiers de la stratégie du Logos larguent leurs munitions critiques, hurlements des bombes fractales étoilant le sol, Opération Métanoïa en cours, dissolution de la nécrose réticulaire qui recouvre la planète, vitrification silicone des villes fictions mortes, effondrement des totems du langage, - dans le désert une voix enfin peut être entendue.
C'est beau comme la trajectoire tourmentée d'une gouttelette de sperme à l'issue d'une branlette devant les inédits du loft téléchargés en cachette sur M6.com.
(emprunt éhonté à Torpedo, parce que moi je ne suis pas Môrice G., j'ai pas de talent, j'emprunte, tu parles...)
Mmmmh. C'est con, j'ai passé l'âge.
Entre les oreilles : le cimetière des Arlequins - Ange
Écrit par O.
le 30 septembre 2004
à 08:31
Cette éloge est effectivement nulle.
Mais, de toute façon, ce n'est qu'un prétexte pour rabaisser un auteur dont tu ne liras jamais les livres.
La seule critique pertinente que j'ai lue à son sujet, elle se trouve ici.
J'attends les anathèmes.
PS: tu n'as rien de plus intéressant à nous proposer en ce moment ?
Parce que venir ici pour entendre parler de moi...
J'ai essayé de le lire, ton critique pertinent : j'ai abandonné à la 768ème itération du thême majeur : "qu'est-ce qu'ils sont cons ces critiques, et qu'est-ce qu'il a raison, Môrice G., de dire qu'ils ne comprennent rien".
Je lai dit mais il peut être utile de le répéter. Sil y avait encore, de nos jours, une Critique et non pas la piteuse coterie parisienne qui officie minablement dans les petites galeries creusées par les dents pointues des taupes de lambition, elle aurait dû voir ce qui crève les yeux.
... oui, bon, et ... ?
Nous sommes donc loin avec Villa Vortex, mais personne ne sen offusquera, des dépucelages insignifiants que les différentes rentrées dites littéraires déversent par tombereaux devant nos yeux, au demeurant bien fatigués.
... oui, bon. Et ... ??
Nous sommes loin, avec ce roman, des livres scandaleusement affligeants malhabilement cuisinés par tous les cuistots de linsignifiance, dont le soufflé finira bien, tôt ou tard, par se dégonfler dans une horrible odeur de viande avariée
... OUI, BON !!! ET ....???
La Critique, pour être véritable et ne pas sombrer dans la rigole de linsignifiance malodorante, doit ou plutôt devrait lever son regard vicieux, quelle a aujourdhui rivé exclusivement sur les organes béants de quelques sirènes aussi décaties que de vieilles bréhaignes qui parviennent pourtant, par quel miracle de fausse séduction ?, à lenvoûter de leurs chants et, il fallait sy attendre, à la faire séchouer dans la Sargasse du bavardage.
Oui, bon.
J'ai compris.
Et j'arrête là : avec "Sargasse du bavardage", je crois qu'on a tout dit.
Moi j'aime ça comme prose:
Moi, j'aime pas. O. - 14:48
D'où l'intérêt de lire un article jusqu'au bout...
J'ai fait ça. Et j'ai même parcouru le reste du site, qui continue sur le même thême : le monde littéraire français c'est que du caca.
Toutes les trois lignes, entre temps, l'auteur en question se lamente que personne ne publie ses trucs à lui.
Aucun rapport de cause à effet, naturellement.
Bonjour.
Je suis tombé sur cette discussion en consultant le mouchard de mes statistiques...
2 ou 3 petites choses : le texte que vous avez lu sur VV, mal lu apparemment, est la PREMIERE VERSION, envoyée jadis à Crépu de La revue des 2 mondes... Je l'ai mis en ligne en guise de simple curiosité, afin que certains curieux puissent juger de mon travail de réécriture
Je viens à l'instant de mettre en ligne une version modifiée, en fait celle parue chez Crépu,qui comblera sans doute vos attentes de fin lecteur éclairé...
Ah oui, je ne me plains pas de mon sort : je dis deux choses, que L'Harmattan est tout sauf un éditeur et que, merci mon brave, je n'ai aucune peine à publier mes livres, vous le verrez dans quelque jours chez A Contrario et, dans quelques semaines, chez le prestigieux éditeur de Nabe, rien que ça...
Vous lisez décidément vraiment très mal : nombre de mes billets affirment le contraire de la connerie que vous lancez sans la moindre gêne : il y a BEAUCOUP d'écrivains valables dans notre pays...
Le seul problème est que, en effet, ils ont bien peu de relais dans nos piètres médias littéraires... Penser le contraire, c'est être ou totalement crétin, ce dont je ne puis préjuger vous concernant (encore que, un ou deux indices...) ou bien vouer un amour immodéré aux journalistes, sans doute vos petits amis ?
Bien à vous.
Oué, c'est ça. Je fais moi aussi partie de la Conspiration des Crétins contre la Vraie Littérature. Moi, mes amis journalistes, et un lampadaire. Vivi.
Vous commentez Nostradamus aussi ?
Non, je n'ai jamais dit cela. Vous avez sans doute quelque dommageable peau de saucisson occulaire...
Je me borne à répéter que vous ne savez strictement pas lire ou alors que vous êtes d'une pathétique mauvaise foi, ce qui suffit à vous ranger, effectivement, dans une catégorie bien précise : celle des ânes, espèce largement répandue et qui a, sur la toile, suffisamment de foin pour brouter pendant des années.
Ben mon brave gars, on lit c'qu'on nous donne à lire, crévindju.
Votre site, par exemple.
1 principale et 4 subordonnées et demie, ça fait un peu court pour faire de la littérature. nan ?
je retourne à mes borborygmes.
Hého, on ne peut *pas* m'accuser de littérature, hein ! Pas moi !
O.> je parlais du dernier paragraphe du dernier commentaire de stalker ... ;)
bon week end !
Mon dieu pardonne moi, j'ai engendré un monstre.
sinon rien à redire sur le post, Dantec ca fait plus pitié qu'autre chose.
Comment ça, t'as engendré un monstre ? T'es le père de Zara ? De Nostradamus ? De Stalker ? T'es l'éditeur caché de subversiv ?
non en fait quand j'ai constaté que tu te lancais dans la métaphore poètique-pleine de-finesse-et-de-subtilité, j'ai voulu écrire "Mon dieu pardonnEZ moi, j'ai engendré un monstre". Le monstre c'est toi!. Sinon je suis d'accord avec le post, les fan de dantec font plus pitié qu'autre chose.
Wam a probablement un email sur lequel on peut lui adresser ce genre de choses sans encombrer ici. - O. - 12:08w
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