Notre gouvernement a un problème : la «rentrée» du 11 mai.
Il a en besoin ; il faut délivrer la main d’œuvre, celle qui ne bosse pas, ou celle qui ne télétravaille pas trop bien à cause des gamins qui sont confinés.
Mais on ne pas l’expliquer comme ça, cette impossible rentrée. Évidemment qu’il va y avoir des problèmes : la géométrie n’est pas élastique, et on ne peut pas fait rentrer tous les élèves dans des locaux fixes et en changeant les distances entre les tables, pour prendre l’exemple le plus visible.
Donc il fallait trouver une échappatoire, et un crâne d’œuf quelconque est arrivé dans le bureau du président avec ce concept crétin : la rentrée facultative. C’est seulement si on veut.
Alors que c’était si simple : il fallait nommer ça une garderie. La garderie, ça a toujours été facultative, et utilisée pour délivrer la main d’œuvre. En étant honnêtes, ils auraient en évité tous les casse-têtes qu’ils ont ces jours-ci.
Mais on ne me demande jamais rien, à moi, hein …
Une réponse à C’était pourtant facile …