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28 juin 2004
Junior dans le texte
US President George W Bush said it was "a day of great hope for Iraqis". Coalition troops would remain in Iraq until the country needed them, Mr Bush said. Je ne sais si c'est la BBC qui s'est trompée en faisant la transcription ou si la citation est belle et bien exacte, mais elle sonne très "Bush" : les troupes de la coalitions resteront en Irak jusqu'à ce que le pays ait besoin d'elles", dit Mr Bush, nous affirme le site de la BBC. Écrit par O. le 28 juin 2004 à 18:52Réactions
Apparemment, la dépêche a été retouchée : la citation de Bush a disparu, et le "until" a finalement laissé place à un "as long as" - plus neutre. La BBC fait des efforts. C'est bien. PS: c'est un plaisir de te lire à nouveau. Bon, c'était une boulette de transcription alors. Ça sentait bon son Junior, pourtant. Comme quoi faut toujours vérifier et suivre. Mis à jour par O. le 29 juin 2004 à 19:24Ça sentait bon son Junior, pourtant. Et ça, ça sent bon le préjugé. Tu pensais aux "bushisms", n'est-ce pas ? Mis à jour par Zarathoustra le 29 juin 2004 à 21:31Ben oui, c'est ce que je disais. Mais tu remarqueras que dans l'article original, je proposais l'erreur de citation comme première hypothèse. Avoir un préjugé n'empêche pas toujours de garder l'oeil ouvert au cas où. L'article que tu cites est intéressant, mais a ses limites, en ce sens que de puis toujours tout le monde ne cite que les parties des textes qui vont dans le sens souhaité. Il s'imagine quoi, le monsieur ? Et tous les politiques en font autant, tout le monde joue sur les mots, les triture, les sous-tend... Pour le meilleur et pour le pire, c'est la règle du jeu. Et les "justifications" de certaines "manipulations" dénoncées sont parfois carrément légères. Ce n'est un secret pour personne, Junior a tendance à s'emmeler les pinceaux quand il cause. C'est comme ça. On ne prête qu'aux riches. Et les "justifications" de certaines "manipulations" dénoncées sont parfois carrément légères. Lesquelles ? Ce n'est un secret pour personne, Junior a tendance à s'emmeler les pinceaux quand il cause. C'est comme ça. Sauf qu'il y a des personnes chez qui cela est suffisant pour l'étiqueter "crétin fini", et dont l'argumentation s'arrête là, précisément. Mis à jour par Zarathoustra le 30 juin 2004 à 00:27 |
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