17 septembre 2003
nul...

...et non avenant.

Si ce type (?) utilisait la moitié du temps -probablement important- qu'il consacre, suant sous l'effort, appliqué et tirant la langue dans un réflexe qui lui vient de sa scolarité besogneuse, au service d'un bilinguisme bas de gamme et d'une pensée -si j'ose dire- raz des rouflaquettes, ça nous ferait probablement un bon cantonier.

Mais bon, quand on n'a pas de bol, on n'a pas de bol. Les trottoirs sont pleins de crottes de chiens, et le web plein de saloperies.

[Entre les oreilles : Weather Report - teen town]

Écrit par O. le 17 septembre 2003 à 16:12
Réactions

c'est agacant, hein ?
Quand les deux "camps" auront fini de traiter l'autre d'idiot, le debat pourra peut-etre commencer.

Merci pour le bookmark en attendant.

Mis à jour par boq le 17 septembre 2003 à 19:11

On ne peut pas débattre avec tout le monde. Il y a des prérequis, et je n'en ai pas trouvé trace.

Mis à jour par O. le 17 septembre 2003 à 21:53

Le mieux c'est peut-être même d'appliquer le traitement réservé à notre facho breton national : on en parle pas, il n'existe pas, on ne fait pointer aucun lien vers sese chiottes, on ne lui apporte pas de traffic, berf : qui me parle ??

Mis à jour par eric le 18 septembre 2003 à 12:56

Je sais pas. Je m'en fous qu'il ait du trafic. Je préfère savoir que ça existe plutôt que faire comme si ça n'existait pas, et me retouver un matin avec un résultat d'élection à dormir debout... mais ça se discute...

Mis à jour par O. le 18 septembre 2003 à 13:12

C'est sur que ça se discute, je suis toujours mal à l'aise face à ce thème, faut-il savoir pour mieux contrer ? On bien ne pas risquer de donner plus de forces, plus d'énergie à la bête immonde ?
Je pense à Marianne, à Jean François Kahn qui a fait sa fortune (déjà du temps de l'événement du jeudi) sur le dos de Lepen : il savait lui procurer de l'imporance, une sorte d'existence et pourtant, il continuait.
A l'inverse, je pense au sort de millions de gens qui ne voulaient pas croire que les camps existaient. Se seraient-ils battus si ils l'avaient su ?
Ou alors, peut-être y a t'il une troisième voie, qui serait d'analyser les constantes d'un point de vue général, sans s'appuyer particulièrement sur des exemples (qui prêtent toujours le flanc au contre-exemple). En tout cas, ce truc m'écoeure, et je sais bien disant cela que j'incite encore à assouvir les malsaines curiosités...

Bon, à plus tard O, j'ai prévu de faire un tour au Danemark avant l'hiver (celui de chez nous hein, pas celui qui commence le 25 septembre comme à Copenhague !)

Eric

Mis à jour par eric le 18 septembre 2003 à 20:42