O. ; Gemp.
Les autres étants peut-être en vacances.
Sauf Loic qui m'a fait part d'une réaction au texte que je vous ai supplier de lire.
Je dois vous exprimer mon irritation quant à l'indifférence dont vous faites preuves.
Le seul regret que j'ai au sujet de ce texte , est que je ne l'ai pas écrit moi même( question de capacités).
les seules réactions que je comprennent au sujet des choses qui me semblent importantes sont oui, non ,ou merde.
Mais avec le rien j' ai mal (tourné ça comme vous voulez).

Marc irrité a parlé, hugh.

Ah. Bon, je vais te la donner, alors, ma réaction. Chacun a son propre irrationnel, son propre seuil de tolérance. Le mien, c'est les longs discours, les paragraphes qui succèdent au paragraphes.

Je n'ai pas réussi à m'intéresser à ce texte. J'ai craqué après une dizaine de minutes, je crois.

Le début était prometteur, mais je n'ai pas trouvé le souffle qui m'aurait permis de soulever le pavé.

Comme toujours, je retenterai l'expérience plus tard, par principe.

Le mieux eut peut-être été de continuer à commenter le post d'origine, qu'on sache de quoi tu parles :)

Je l'ai lu, mais je ne vois pas trop ce que je pourrais en dire, ni quel commentaire apporter. C'est un point de vue intéressant...

Et notez que dans tout ça personne n'a dit que ma photo était jolie, hein. L'indifférence générale. :)

Jolie, ta photo? Mais voyons, elle fait l'apologie d'un système auquel je ne dois pas être le seul de tes lecteurs à vouer une exécration sans bornes... Continue plutôt à traquer Fred avec ou sans flash, ou les belles Danoises, ou... tout et n'importe quoi, mais pas "ça"!

La photo de Fred, c'était avec flash aussi, hein.. :)

Merci pour vos réactions.
Je ne peux bien sûr pas vous obliger à trouver ce texte intérressant; juste vous faire part de mon intérèt et de mon envie incommensurable de partager avec vous le plaisir que j'ai eu en le lisant.

Marc qui était irrité et qui aujourd'hui ne l'est plus.

Ce texte n’est pas loin des cris d’alarmes qu’Albert Camus avait poussés sur la problématique algérienne, à travers de nombreux articles parus bien avant la guerre d’Algérie et regroupés pour la plupart dans « Chroniques algériennes ».
On s’apercevra que toutes les oppositions, les guerres partent bien souvent de la peur, de la peur de ce qu’on ne connaît pas, de ce qu’on ne comprend pas. Peut-être aussi et par contradiction, de la peur de comprendre et alors de corrompre notre système de pensé…crainte d’adhérer à un nouveau système ou de faire au moins acte d’empathie envers quelque chose de parfois si différant mais tellement proche.

A part cela……bonne journée.